Le 4 octobre prochain, designers interactifs organisera à l’ENSCI sa première soirée Pecha Kucha (en japonais dans le texte, « le bruit de la conversation »). L’association a été choisie pour créer l’édition parisienne de ce happening, créé au Japon par l’agence d’architecture Klein Dytham. L’événement permet à une dizaine de designers de toutes disciplines de présenter un projet innovant sur un format 20 images, 20 secondes par image. Le rythme effréné de ces 6 min 40 de présentation X 10 va enthousiasmer et faire bouger la sphère créative.
Pecha Kucha Paris
Conçu en 2003 pour permettre aux designers de se rencontrer, de réseauter et de présenter leur travail en public, Pecha Kucha est présent dans un réseau de 80 villes dans le monde.
Pecha Kucha est ouvert aux graphistes, aux designers industriels, aux architectes, aux stylistes, aux designers numériques, aux game designers, aux artistes, aux étudiants d’écoles d’art ou à quiconque souhaite partager sa vision créatrice.
Pour soumettre et venir présenter vos travaux, envoyez-nous un e-mail sur bd(at)designersinteractifs.org
Le formulaire d’inscription pour assister à la soirée sera mis en ligne début septembre.
En résumé :
* présentation : chaque intervenant projette 20 images. Il a 20 secondes pour montrer et commenter chaque image, qui défile automatiquement.
* format : 20 images au format JPG (1024 x 768 px)
* Nommage : nommez vos images avec vos initiales suivies de nombres consécutifs, par exemple : BD-001.jpg et faites-les nous parvenir par e-mail. Vous pouvez nous envoyer un aperçu de 2 à 3 images. Nous vous recontactons si vous êtes sélectionné.
* Indiquez dans votre e-mail votre nom, votre profession, votre numéro de téléphone, une courte explication du travail que vous souhaitez présenter, et votre site.
* La première présentation commence à 20h20 précises !
* Pecha Kucha est gratuit.
Selon, wikipédia : « Le Bosphore (en turc Boğaziçi, en grec Βόσπορος) est le détroit qui relie la mer Noire à la mer de Marmara et marque, avec les Dardanelles, la limite méridionale entre les continents asiatique et européen. Il est long d’environ 30 kilomètres pour une largeur de 550 à 3000 mètres.
Selon une étymologie populaire, son nom signifierait « passage de la vache » (de Βοῦς [bous], la vache, et πόρος, [poros], le passage) et fait allusion à l’histoire d’Io, jeune fille aimée de Zeus, changée par lui en vache, et poursuivie par un taon envoyé par Héra jalouse. En fait, le premier terme (bous) serait plutôt à rapprocher des verbes buō et buzō (ce dernier terme étant lui-même probablement à l’origine du toponyme Buzantion, l’antique Byzance, actuelle Istanbul) et signifiant « resserrer ». Ainsi, le Bosphore serait un « passage resserré ». Nous savons de plus que ce détroit sépare les deux parties d’Istanbul, ville fondée à la fois en Asie et en Europe.
Les eaux du Bosphore sont paradoxalement classées en domaine maritime international et libres d’accès. Le trafic y est un des plus important au monde et s’y croisent de nombreux tankers transportant le pétrole de la mer Noire. En 2003, 47 000 navires ont transité dans le détroit, dont plus de 8000 transportaient une cargaison dangereuse, le plus souvent du gaz liquéfié ou pétrole. Le trafic a atteint quelque 53 000 navires en 2004.
De violents courants le parcourent et son étroitesse en certains endroits y rend la navigation très dangereuse. Cependant, de par son internationalisation, la présence d’un pilote à bord ne peut être exigée et plusieurs graves accidents s’y sont produit, notamment trois graves collisions entre deux pétroliers suivies d’incendie, dont celle du 13 mars 1994 qui causa la mort de 25 marins. Le 15 juillet 2005, un navire cargo panaméen transportant de la ferraille coule dans les eaux du détroit. »